Amérique latine : appel en faveur de l’école publique
Début d’année scolaire offensif pour les organisations syndicales d’Amérique latine.
Congrès IE : solidarité avec les camarades d’Argentine
La délégation du SNES-FSU a profité de sa présence à Buenos Aires pour exprimer sur place et dans les actes sa solidarité avec nos camarades d’Argentine.
Argentine, la tronçonneuse en action !
La politique antisociale entre en vigueur.
Haïti, sortir du chaos
Le pays s’enfonce dans la crise mais les syndicalistes enseignant·es continuent de se battre pour que l’éducation redevienne une priorité.
Congrès de La Rochelle. Des invité·es uni·es et déterminé·es pour transformer l’éducation
Comment renforcer le service public d’éducation ? Quelles sont les principales revendications de votre organisation et les obstacles que vous rencontrez ? Quels types de solidarité peut-on mettre en place pour gagner ? Voici quelques exemples des questions posées à nos invité ·es
Argentine, la démocratie tangue.
Les cent premiers jours au pouvoir de Milei confirment les craintes.
Québec: le secteur public fait front
L’austérité a suscité une grève du secteur public québécois inédite depuis un demi-siècle.
Argentine: Javier Milei, « el loco », en tête des primaires de la présidentielle.
Le projet politique de Milei, ultralibéral en économie et ultraconservateur sur les questions de société est une menace pour l’éducation publique mais aussi bien au-delà.
Haïti : dans le chaos, des initiatives syndicales pour surmonter la crise
Le 14 août dernier, un tremblement de terre d’une magnitude de 7,2 secouait tout le sud de l’île et venait ajouter au chaos déjà suscité par l’insécurité, la crise sociale et l’assassinat du président Jovenel Moïse le 7 juillet. Nos collègues haïtiens nous ont envoyé de nombreux témoignages et tentent d’organiser la solidarité internationale.
Deux militants assassinés en Haïti
Dans la nuit du 29 au 30 juin, deux militants pour la démocratie et la justice sociale en Haïti ont été assassinés à Port-au-Prince. Ils font partie des quinze victimes d’un « raid » pratiqué par les gangs dans le quartier de Delmas. Ce raid est selon toute vraisemblance une couverture pour masquer deux assassinats ciblés, l’identité des victimes ne devant rien au hasard.