Cette campagne incite les gouvernements du monde à investir massivement dans les services publics d’éducation, seuls à même de garantir le droit universel à l’éducation.
Lors de la Journée internationale de l’Éducation, le 24 janvier, des syndicalistes de l’éducation du monde entier se sont réuni·es en ligne pour faire un premier bilan de cette campagne. Le sommet des Nations Unies sur la transformation de l’éducation a permis de mettre en lumière la pénurie mondiale d’enseignant·es et ses conséquences. En réponse, l’ONU a formé un Groupe de Haut Niveau sur la profession enseignante, auquel participe l’IE, chargé de formuler des recommandations pour aider les États à remédier à cette pénurie.
Localement, des luttes comme celles du Front Commun au Québec, de la FENPROF au Portugal et celles du SNES-FSU se sont appuyées sur la nécessité d’investir dans l’école publique pour améliorer les salaires et les conditions de travail. Cette prise de conscience médiatique du manque de moyens et les luttes autour d’objectifs communs sont des réussites de cette campagne.
Place à une nouvelle étape
La fin février a marqué une nouvelle étape de la campagne avec la présentation des recommandations du Groupe de Haut Niveau. Les organisations membres de l’IE, dont le SNES-FSU, adapteront ces recommandations à leur contexte national.
Vous trouverez ici des informations sur les actions de coopération avec les syndicats d’autres pays, les analyses et réflexions du SNES-FSU sur l’actualité internationale, des comptes-rendu d’instances internationales dans lesquelles siège le SNES-FSU. Des remarques, des questions ?
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